Balbzioui essentially describes himself as a painter: he has always painted and drawn, for him it is like breathing. It allows him to glance at the world and question it, a kind of curiosity that is deliberately candid, but also a need to remain firmly linked to the images.

Il y a dans la manière qu’a Yassine Balbzioui de cerner en quelques traits bien maîtrisés une réalité qu’il aurait soigneusement détournée de son sens premier, quelque chose de cette « gaîté moderne » dont parlait Breton, une « contradiction à la culture hautaine », le choix d’un expressionnisme de la dérision davantage que de la tragédie humaine.